Andrzej Szarmach, ancien attaquant d'Auxerre, condamné à huit mois de prison avec sursis pour violences conjugales


Mercredi, l'ancien international de foot polonais Andrzej Szarmach, passé par Auxerre entre 1980 et 1985, qui vit depuis des années en Charente, a été condamné à huit mois de prison avec sursis pour violences conjugales par le tribunal correctionnel d'Angoulême.
La peine a été prononcée mercredi par le tribunal correctionnel d'Angoulême. L'ancien international de foot polonais Andrzej Szarmach, 69 ans, connu pour son fructueux passage à Auxerre (94 buts inscrits en D1 entre 1980 et 1985), a été condamné à huit mois de prison avec sursis pour violences conjugales par le tribunal correctionnel d'Angoulême.
Il devra également suivre des soins psychologiques
Au-delà de sa peine, il devra également suivre des soins psychologiques et pour lutter contre son addiction à l'alcool pendant deux ans. Szarmach vit depuis des années à Puymoyen, commune mitoyenne d'Angoulême dont il a entraîné le club pendant plusieurs saisons.

Sans activité dans le football depuis plusieurs années, il est devenu alcoolique au point de souffrir de pathologies cognitives, comme des difficultés à s'exprimer. Le 6 mars dernier, il s'en était pris à sa femme, Malgorzata, lui assénant un coup de poing au visage. Cette dernière, soutenue par ses enfants, avait porté plainte. Depuis, elle lui a pardonné son geste et a réclamé son retour au domicile conjugal.

« Depuis trois mois, il n'a pas touché une goutte d'alcool »
Sa femme

À la barre, cette dernière a déclaré ne « plus avoir peur de lui ». « Les trois mois sans le voir ont été terribles. Je veux qu'il rentre à la maison. Je suis sûre qu'il ne recommencera plus. Depuis trois mois, il n'a pas touché une goutte d'alcool », a-t-elle ajouté, ce qu'ont confirmé les examens toxicologiques.
Szarmach, qui a respecté à la lettre son contrôle judiciaire et s'est présenté à toutes les convocations de la justice et des centres de soins, a été autorisé à rentrer chez lui contre l'avis de la substitut du procureur, trouvant ce retour « prématuré » avec « un vrai risque de réitération des faits ».
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Justice : Neymar débouté et condamné à payer 6,7 millions d'euros au Barça
La justice espagnole a condamné Neymar à verser la somme de 6,7 millions d'euros au FC Barcelone, ce vendredi. L'attaquant réclamait beaucoup plus à son ancien club, mais a été débouté par le tribunal.
Dans le contentieux financier qui l'opposait à Neymar, le FC Barcelone a obtenu gain de cause. La Cité judiciaire catalane a rendu son verdict ce vendredi et donné raison au club blaugrana, à qui le joueur brésilien réclamait l'intégralité du versement d'une prime, soit 26 millions d'euros, après avoir prolongé son contrat de cinq ans en 2016, en plus des dommages et intérêts, pour un total de 43,6 millions d'euros. Or, l'attaquant (28 ans) a signé l'année suivante au PSG.
Neymar peut faire appel
Débouté par le tribunal, Neymar a même été condamné à rendre 6,7 millions d'euros à son ancien club. Dans un communiqué, le Barça a fait part de sa « satisfaction » concernant cette décision, mais il s'est bien gardé de crier déjà victoire dans une affaire qui s'éternise, précisant que « le représentant du joueur ayant le droit de faire appel, le club continuera à défendre avec ferveur ses intérêts légitimes ».
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Le barça étant favorisé à mort depuis toujours, voir si ce "verdict" semble correct. N'ayant pas tous les éléments, les journalistes ne savent absolument RIEN. Au mieux ils inventent.

Bagarre dans une manifestation à Strasbourg : les hooligans d'un groupe d'ultradroite, supporters du Racing, sont ressortis libres de leur garde à vue
Trois membres du groupe d'ultradroite Strasbourg Offender, supporters du Racing, avaient été interpellés et placés en garde à vue, vendredi, suite à des incidents lors de la manifestation locale du 28 novembre contre la loi « sécurité globale ». Ils sont ressortis libres, dans l'attente d'éventuelles suites judiciaires.
Ils avaient été interpellés et placés en garde à vue vendredi matin, à l'hôtel de police de Strasbourg, au motif de « violences en réunion », après des incidents lors de la manifestation locale contre la loi sécurité globale, le 28 novembre.
Ces trois membres du groupuscule Strasbourg Offender, supporters du Racing et proches de l'ultradroite, sont tous ressortis libres de leur garde à vue, selon nos informations, en attente d'éventuelles suites judiciaires données à cette affaire.
Le premier avait vu sa garde à vue levée vendredi, dans la soirée. Les deux autres, dont la garde à vue avait été prolongée par le Parquet, « sont aussi sortis libres, samedi soir » nous a précisé, dimanche, l'hôtel de police de Strasbourg.
Le 28 novembre, une dizaine de membres de Strasbourg Offender avaient infiltré le cortège des manifestants contre la loi « sécurité globale » et déclenché une bagarre. Leur action avait été revendiquée via un message sur le groupe « Ouest Casual » de l'application Telegram.
C'est peut-être le groupe hooligan le plus caricatural de France
Les personnes interpellées ont été identifiées par l'exploitation de la vidéo. La scène de cette brève bagarre a également été filmée et publiée sur Twitter. À la suite de ces heurts, un signalement avait également été effectué sur le portail Pharos.
Les deux hooligans relâchés samedi « sont connus pour être des leaders » de Strasbourg Offender, un groupe « connu dans le milieu du supportérisme et réputé proche de la mouvance ultradroite » a fait savoir la Direction départementale de la sécurité publique (DDSP) du Bas-Rhin, dans un communiqué diffusé samedi.
Les personnes gardées à vue puis libérées sont « identifiées comme supporters du RC Strasbourg », nous a confirmé dimanche une source policière.
« Strasbourg Offender, c'est peut-être le groupe hooligan le plus caricatural de France en la matière, avec des crânes rasés néonazis, nous explique une source proche des services de police. Ils ont déjà posé des problèmes au club (le Racing) et même aux Ultra Boys 90 (le principal groupe ultra du club alsacien).
Des membres de cette faction violente et xénophobe s'étaient notamment fait remarquer, l'an dernier, lors d'un affrontement à la terrasse d'un bar, à Lille, en marge de la finale de la Coupe de la Ligue Strasbourg-Guingamp (0-0, 4-1 aux t.a.b., le 30 mars 2019), disputée au stade Pierre-Mauroy, à Villeneuve-d'Ascq.
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L'equipe, quel torchon.