Bayern Munich - FC Porto : 6-1


Au terme d'un feu d'artifice offensif, le Bayern, privé de Robben et Ribéry, a donné la leçon face à des Dragons impuissants. Les Bavarois atteignent le dernier carré pour la 4ème saison consécutive. Porto concède un premier revers en C1, cette saison.
Equipe

Prévisible pour le Bayern, ce n'est pas la première fois qu'ils mettent une rouste à un club qui venait de les battre lors du match aller.

Quart de finale
 Mercredi 22 avril 2015
     Monaco 0 - 0 Juventus de Turin    
      Real Madrid 1 - 0 Atlético de Madrid     

Monaco - Juventus Turin : 0-0
Grâce à sa défense de fer et à sa rigueur tactique, la Juventus se qualifie pour les demies de C1 (1-0, 0-0). Monaco a fait preuve de coeur avec son engagement total et sa pluie d'offensives mais le manque de réalisme affiché ne pardonne pas à ce niveau.


Real Madrid - Atletico Madrid : 1-0
Après plusieurs tentatives infructueuses face à un excellent Jan Oblak, Chicharito a finalement trouvé la faille en toute fin de match, propulsant le Real en demi-finale. Solide défensivement, mais réduit à dix, l'Atlético a craqué sous la pression.

Le retour du catenaccio italien.

LDC : Le champion de France sera désormais tête de série
Dans son règlement pour la Ligue des champions édition 2015/2016, l’UEFA a procédé à plusieurs changements. L’un concerne la répartition des têtes de série pour le tirage au sort des phases de groupe, qui était effectuée jusqu’à présent par rapport aux coefficients européens des clubs.Désormais, le champion de France sera tête de série, comme on peut le lire dans l’article 13.05 du règlement de la compétition. « Pour le tirage au sort, les 32 clubs participant à la phase de matches de groupe sont répartis en quatre groupes de huit. Le premier groupe comprend le tenant du titre (première tête de série) et le champion national des sept associations les mieux classées conformément à la liste d'accès, indique ainsi l’UEFA. Si le tenant du titre fait partie des champions nationaux des sept associations les mieux classées, le groupe est complété par le champion de l'association en huitième position. » Du coup, les vainqueurs des championnats espagnols, anglais, allemands, italiens, portugais, français et russe accompagneront le champion en titre. Si le Barça, le Bayern, la Juve ou le Real remportent la LDC et leur championnat respectif, c’est le champion des Pays-Bas qui prendra la dernière place dans le chapeau 1.
RMCsport

Ligue des champions   1/2 finale:

Barça-Bayern 


Juve-Real

Quand on connait l'importance du fric pour le Qatar et pour la mafia russe qui dirige le foot russe, on se dit que cette décision n'est pas tout à fait innocent... en rendant quasi-automatique la position de tête de série et donc de favori logique pour la phase suivante du champion de la France (que certains espèrent être toujours le QSG) et celui de la Russie.
Fric et corruption, les deux mamelles du foot mondial actu.

Oui on a tous vu ce que cela avait donné avec l'OM, fric et corruption....

Bayern
Ligue des champions : Robert Lewandowski, vengeur masqué du Bayern Munich

Victime de multiples fractures au visage lors du match de Coupe d'Allemagne contre le Borussia Dortmund (1-1, 2-0 t.a.b.), Robert Lewandowski va jouer masqué contre le Barça mercredi en demi-finale de la Ligue des champions. «Je suis prêt pour ce nouveau défi», a twitté l'attaquant polonais du Bayern Munich.
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Les 5 déclas qui montrent que Messi n'a rien oublié de Guardiola avant leurs retrouvailles
LIGUE DES CHAMPIONS – Dire que la conférence de presse de Lionel Messi mardi a beaucoup tourné autour de Josep Guardiola serait un euphémisme. A la veille de Barça-Bayern, la star argentine a été abreuvée de questions concernant celui qui, avant d'être l'entraîneur du club bavarois, a été son coach de 2008 à 2012 à Barcelone. Messi n'a pas esquivé le sujet. Morceaux choisis.
1. Messi doit beaucoup à Guardiola, bien plus qu'un palmarès
 A Barcelone, Messi et Guardiola ont empilé les trophées. Trois titres de champion d'Espagne (2009, 2010, 2011), deux Coupes du Roi (2009, 2012), deux Ligues des champions (2009,2011), trois Supercoupes d'Espagne (2009, 2010, 2011), deux Supercoupes d'Europe (2009, 2011) et deux championnats du monde des clubs (2010, 2011). Mais ce que Messi retient en premier de Guardiola, ce n'est pas cet impressionnant palmarès. C'est ce qu'il lui a apporté sur le plan personnel.

    " Avec Guardiola, au-delà des titres, le plus important est que j'ai grandi et beaucoup appris."
2. Guardiola, ce n'est pas qu'un style de jeu
Le Barça de Guardiola a révolutionné le football par son style de jeu, le tiki-taka, qui a fait la gloire à la fois du club catalan mais aussi de la sélection espagnole. Pour beaucoup, c'est la marque de fabrique de Pep, qui a imposé cette même philosophie de jeu au Bayern. Pas pour Messi, qui évoque surtout le côté méthodique de Guardiola.
   " C'est un entraîneur qui étudie tout et ne laisse rien au hasard."

3. Le point commun entre Guardiola et Luis Enrique n'est pas d'ordre technique
Pour sa première saison au Barça, Luis Enrique est parti sur les mêmes bases que Josep Guardiola. Le club catalan est non seulement en mesure de remporter toutes les compétitions dans lesquelles il était engagé en début de saison, mais il séduit aussi par sa qualité de jeu. Mais au moment de comparer ces deux entraîneurs, Messi souligne d'abord leur approche humaine du métier.
" Ils ont des idées en commun, d'autres non. Personnellement, je crois que les deux essaient d'être proches des joueurs, de créer un bon groupe."
4. Guardiola n'est pas le seul à avoir l'avantage de connaître son adversaire
Josep Guardiola est probablement l'entraîneur qui connaît le mieux le Barça. C'est peut-être le meilleur argument du Bayern dans sa confrontation avec le club catalan. Mais Messi fait remarquer que c'est un avantage à double tranchant. Car le Barça connait lui aussi très bien son adversaire.
    " C'est pareil pour les deux camps. Il nous connaît bien et nous aussi, nous savons ce qu'il demande à ses équipes. C'est 50-50."

5. Messi et Guardiola, c'est du passé
 Guardiola et Messi ont vécu une relation singulière durant quatre ans à Barcelone. Depuis, les deux hommes ont fait leur chemin, chacun de leur côté. C'est globalement ce que Messi a laissé entendre au moment d'évoquer leurs rapports actuels.

   " Depuis qu'il est parti, nous n'avons pas plus de relations que ça."
Eurosport

Ligue des Champions :
Demi-finale
 Mardi 05 mai 2015
 Juventus de Turin 2 - 1 Real Madrid

Demi-finale
La Juventus remporte la demi-finale aller de Ligue des champions contre le Real Madrid (2-1)
La Juventus Turin s'est imposée, mardi à domicile, contre le Real Madrid (2-1) en demi-finales aller de la Ligue des champions, au terme d'un match intense.
Le match: La Juve a bien grandi
La Juventus Turin a réalisé une très grande prestation pour s’imposer (2-1) contre le Real Madrid, mardi, en demi-finale aller de la Ligue des champions. Le début de match a été à l’avantage des Italiens, qui ont dominé en étant plus agressifs et en effectuant un énorme pressing. Une stratégie qui leur a permis d’ouvrir le score, logiquement, dès la 8e minute. Formé au Real, Alvaro Morata a bien suivi une frappe de Carlos Tevez, détournée par Iker Casillas. Ces deux joueurs ont posé d’énormes problèmes à la défense madrilène, avec leurs appels dans la profondeur et leur protection de balle.
Les Turinois, qui s’étaient procuré trois autres occasions auparavant (1e, 3e, 7e), ont ensuite trop reculé, ce qui a permis à Toni Kroos (12e) et Cristiano Ronaldo (23e) de tenter leur chance. Alors que les centres madrilènes étaient trop longs, James a trouvé le bon dosage à la 27e, après un une-deux avec Daniel Carvajal, pour servir Ronaldo, auteur de l’égalisation de la tête. En accélérant une nouvelle fois sur un côté, le gauche cette fois, les Madrilènes ont failli doubler la mise avant la mi-temps (41e), mais James a trouvé la barre d’une tête plongeante sur un centre tendu d’Isco.
Le début de la deuxième période a été moins rythmé. Mais les Turinois, qui se sont procuré une première occasion à la 48e, ont réussi l’essentiel en marquant un deuxième but (58e), sur penalty (le tournant). Ils ont eu un énorme temps fort, mais ils n’ont pas réussi à inscrire le but du break. Massimiliano Allegri a cassé cette dynamique à la 64e, lorsqu’il a remplacé Stefano Sturaro par Andrea Barzagli pour aligner ses hommes en 5-3-2. La fin de la rencontre s’est limitée à une attaque-défense. Mais, contrairement à la première période, les Madrilènes n’ont pas trouvé la faille dans l’arrière-garde turinoise. Ils ont même failli encaisser un troisième but dans les arrêts de jeu (90e+1), mais Casillas a arrêté la tête de Fernando Llorente en deux temps.
Le tournant: Le tir contré de Marcelo
Alors que les Madrilènes sont aux abords de la surface de la Juve, Toni Kroos tente une première frappe. Les Turinois se jettent pour contrer sa tentative. Le ballon revient dans les pieds de Marcelo, contré à son tour. Arturo Vidal le récupère et lance Carlos Tevez dans la profondeur. L’Argentin file vers le but. Alvaro Morata propose une solution, mais Marcelo fait tomber son ancien coéquipier. Tevez rentre dans la surface et se fait sécher par Carvajal. M. Atkinson n’hésite pas et siffle penalty. L’Argentin se charge de le marquer.
Un joueur: Ramos, au milieu de nulle part
Privé de Luka Modric jusqu’à la fin de la saison, Carlo Ancelotti a remplacé le Croate par Sergio Ramos au milieu. Ça n’a pas franchement été une réussite. L’habituel défenseur a perdu énormément de ballons, notamment sur l’ouverture du score. Une autre de ses pertes de balle devant Stefano Sturaro aurait pu être fatale, mais Carlos Tevez a raté sa frappe (18e). Il a également été maladroit sur ses transmissions et a même annihilé une action en marchant sur le ballon (25e). Carlo Ancelotti devra peut-être trouver une autre solution au retour pour renverser la situation.
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Satisfait de la victoire de la Juve surtout à cause de certains commentaires vus ça et là à propos d'une supériorité énorme du Real par rapport au club italien. En un mot, ces commentaires s'attendaient à une large victoire du Real, les voilà revenu à des propos plus mesurés.
même si je suppose que le Real parviendra à inverser la tendance au match retour.

FC Barcelone - Bayern Munich : 3-0
Longtemps malmené et sans idée, le Barça s'impose finalement très largement grâce au génie de Messi (deux buts, une passe). Une sanction sévère pour un Bayern qui aura su faire déjouer les Blaugrana et devra réaliser un véritable exploit au match retour.
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Ligue des Champions Bayern
«Seulement un miracle ...»
 Au lendemain de la cuisante défaite au Camp Nou face au Barça en demi-finale aller de la Ligue des champions (0-3), la presse allemande ne croit plus du tout à une qualification du Bayern Munich.

Les journalistes aiment bien les chiffres. Ils les connaissent, aussi, ce qui peut expliquer les analyses plutôt pessimistes des chances de qualification du Bayern, ce jeudi, dans la presse allemande. En Ligue des champions en effet, 93% d'équipes se sont qualifiées après avoir gagné 3-0 lors de la session aller. «Messi et le Barça abattent le Bayern», titre donc le Berliner Zeitung, supposant implicitement que ce dernier ne s'en relèvera pas. «A la question de savoir si le Bayern pouvait escompter encore avoir une chance réaliste de disputer la finale le 6 juin à Berlin, le club bavarois obtenait une réponse assez claire avec un nouveau but de Neymar dans les arrêts de jeu. Avec ce 0-3, les Munichois peuvent à peine se permettre d'espérer un voyage dans la capitale.»
«Plus qu'une défaite», une élimination pure et simple
Le Frankfurter Allgemeine Zeitung rebondit, lui, sur les déclarations positives du président Rummenigge : «"Il nous reste encore un match, et nous nous appelons le Bayern. Parfois, il y a aussi des miracles pour le Bayern". Parfois. Mercredi soir, donc, après un 0-3, se dessinait surtout la fin proche de la campagne européenne de cette année. Si tous les signes ne trompent pas, la finale aura lieu à Berlin le 6 juin avec le FC Barcelone en top favori.» Même analyse du côté de Kicker, qui souligne - en écho à la devise du club blaugrana "Mes que un club" - que le club bavarois a subi «plus qu'une défaite» : «Le président Karl-Heinz Rummenigge avait souhaité un résultat qui laisse la décision ouverte pour le match retour. Cette défaite ne le permet en aucune façon. Seul un miracle peut offrir la finale au Bayern désormais.»
Il n'y a guère que Der Spiegel qui s'emballe un peu, essayant même d'imaginer que Pep Guardiola a prévu ce scénario : «Mais peut-être, ce qui va se passer la semaine prochaine, le Guardiola maniaque de football y pense depuis longtemps, depuis qu'il sait qu'il passe en phase finale. Un tel duel après une telle défaite au match aller, avec tous ces blessés, contre cet adversaire-là, au terme d'un match retour, ce serait probablement le plus grand triomphe de Pep Guardiola.»
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Bon, tout le monde a vu ces montages sur l'opposition Messi-Boateng mais on peut les immortaliser.

Voir ICI

Bayern - Barça 1-2...on joue depuis 30 min

- Demi-finales
 Mardi 12 mai 2015
      Bayern Munich 3 - 2 Barcelone

Ligue des Champions
Le Barça n'a jamais tremblé
 Malgré sa défaite à Munich (2-3), le Barça n'a jamais eu peur en demi-finale retour de la Ligue des champions face au Bayern. Larges vainqueurs à l'aller (3-0), les Catalans vont disputer leur première finale de C1 depuis 2011
Le match: 3-2
Huit minutes. C’est le laps de temps durant lequel les Munichois ont pensé pouvoir remonter le lourd handicap concédé lors du match aller (0-3). En trompant Ter Stegen d’une reprise de la tête sur corner, Mehdi Benatia a ouvert le score dès la 7e minute pour le Bayern dans une ambiance indescriptible et fait croire à l’impossible exploit. Mais Neymar a mis un terme aux espoirs bavarois en battant de près Neuer au quart d’heure de jeu (15e), avant de signer un doublé pour le Barça (29e)..
Identiques à celles du premier acte, les deux équipes se sont créées plusieurs occasions en première période, en plus des trois buts inscrits. Si Neuer s’est interposé devant Ratikic (4e) et sur un bel enchaînement de Messi (28e), c’est surtout Ter Stegen qui s’est mis en évidence. L’ancien gardien de Mönchengladbach a brillé face à Müller (19e, 29e), Schweinsteiger (38e) et Lewandowski (27e, 40e), s’interposant notamment sur une frappe à bout portant de l’attaquant polonais.
Avec Pedro à la place de Suarez puis avec Xavi, qui a fêté sa 150e apparition en C1 - record pour un joueur de champ -, le Barça a essayé de gérer après la pause. Mais la défense catalane a craqué sur une superbe réalisation de Lewandowski (59e) puis sur une belle frappe de Müller (74e). L’essentiel était toutefois ailleurs pour les joueurs de Luis Enrique, toujours en lice pour remporter un formidable triplé. Pour cela, les Blaugrana devront s’imposer le 6 juin prochain à Berlin, pour leur première finale de C1 depuis leur sacre de 2011. Quant au Bayern, qui n’a su rééditer sa performance de 2013 (4-0), sa route s’arrête pour la deuxième fois de suite à ce stade de la compétition.
L'homme: Neymar en superstar
L’attaquant brésilien affiche une forme resplendissante et son entente avec Messi et Suarez n’y est pas étrangère, à l’image de ses deux buts inscrits ce mardi soir. Le capitaine de la Seleçao a marqué à deux reprises sur deux offrandes de Suarez, lui-même trouvé par Messi. Parfaitement servi par l’Uruguayen, Neymar a tout d’abord égalisé en poussant le ballon dans le but vide. Il a ensuite donné l’avantage aux siens d’une belle reprise du droit. Auteur de 15 réalisations l’an dernier avec les Blaugrana, Neymar en compte déjà 37 lors de cet exercice, dont 9 en C1. Et le Brésilien ayant «scoré» lors de ses 7 derniers matches, son total pourrait bien encore s’accroître.
La stat
18
En s'imposant chez eux, les champions d'Allemagne ont mis un terme à la série d'invincibilité des Espagnols, qui restaient sur 18 rencontres sans défaite. La défense du Barça n'avait par ailleurs plus encaissé de buts depuis sept rencontres, et elle n'avait plus craqué sur coup de pied arrêté depuis le 4 janvier dernier. Ce jour-là, les Catalans s'étaient également inclinés, sur le terrain de la Real Sociedad (0-1).
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Allmen67 MrEnigme a écrit:

même si je suppose que le Real parviendra à inverser la tendance au match retour.

Avec leurs grands Gueule (Réal)c'est la juve qui joue la finale ..

Demi-finales
Mercredi 13 mai 2015
Real Madrid 1 - 1 Juventus de Turin

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La Juventus détrône le Real Madrid (1-1)
La Juventus s'est qualifiée pour la finale, qui l'opposera au FC Barcelone, en obtenant un match nul (1-1) chez le Real Madrid. Le club italien élimine le tenant du titre grâce à son succès de l'aller (2-1). Morata (57e) a répondu au penalty de Ronaldo (23e).
Le match: 1-1
Du suspense, des actions en pagaille, de l’intensité… cette demi-finale retour de C1 entre le Real et la Juve (1-1, 2-1 à l'aller) a été à la hauteur des espérances qu’elle avait suscitées. Les Madrilènes ont enchaîné les offensives, poussé, mais ont au final manqué de précision dans le dernier geste, ne convertissant qu’une seule de leurs occasions par Cristiano Ronaldo, sur penalty (23e). Les Madrilènes pourront aussi regretter leur entame de seconde période apathique, durant laquelle ils ont laissé le ballon à des Turinois plus mordants. Ces derniers n’ont pas laissé échapper l’occasion de revenir au score sur une frappe dans la surface de Morata (57e).
Les joueurs de la Juve ont d’autant plus de mérite que leur maître à jouer habituel, Andrea Pirlo, était dans un jour sans. Mais leur qualité défensive, leur solidarité et leur capacité à se projeter rapidement vers l’avant leur ont permis de tenir. Après une entame de match équilibrée, le Real a accéléré le jeu, aidé en cela par les combinaisons de CR7 et Benzema, de retour de blessure. En dix minutes, de la 19e à la 29e, la Casa Blanca a ainsi fait trembler les supporters italiens à quatre reprises, Ronaldo concrétisant cette domination sur un penalty provoqué par James. Le Portugais puis Benzema ont eu l’occasion de creuser l’écart en fin de première période, mais le premier a trouvé le petit filet extérieur, le second les gants de Buffon (41e)
Au retour des vestiaires, les partenaires de Paul Pogba ont inversé la tendance. Après une frappe de Marchisio (51e), c’est Morata qui a égalisé (57e). À l’image d’un Gareth Bale maladroit, le Real a réagi de manière désordonnée, le Gallois (63e, 73e) comme James (68e) ne parvenant pas à offrir la qualification à leur club. C’est au contraire la Juve qui aurait pu tuer le suspense si Casillas n’avait pas remporté ses duels contre Marchisio (70e) et Pogba (88e). Déjà distancé en Liga par le Barça, le tenant du titre madrilène est éliminé. Les Turinois affronteront le Barça en finale le 6 juin prochain.
Le joueur: Morata, retour gagnant
Recruté au Real Madrid l’été dernier, Alvaro Morata a joué un bon tour à son ancien club. L’attaquant espagnol, qui avait déjà marqué au match aller (2-1), a à nouveau livré un match plein, éclipsant Carlos Tévez. Mobile, intelligent dans ses déplacements, il a surtout trompé Casillas d’une frappe du gauche, démontrant au public du Santiago-Bernabeu qu’il avait bien grandi.
Equipe
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Content pour la Juve et toc sur la gueule de certains journaleux.

Allmen67 MrEnigme a écrit:

Content pour la Juve et toc sur la gueule de certains journaleux.

Maintenant gagné la Finale (Juve)

Marco 69/73 a écrit:

Maintenant gagné la Finale (Juve)

Le Barça pour moi.

Marius a écrit:

Marco 69/73 a écrit:

Maintenant gagné la Finale (Juve)

Le Barça pour moi.

Supporter du Barça Marius

Marco 69/73 a écrit:

Marius a écrit:

Marco 69/73 a écrit:

Maintenant gagné la Finale (Juve)

Le Barça pour moi.

Supporter du Barça Marius

Oui Marco et je ne te dirais pas pourquoi!

je ne suis pas supporter d'aucune des deux équipes, mais pour une fois je dirais aller la Juve

Si la Juve tient la première mi-temps en maîtrisant Messi, il est possible qu'il y ait une surprise.